Riposte bonapartiste à celui qui jette Robespierre

40 ans après 1968, que reste-t-il des hooligans qui arrachaient les pavés contruits par les gouvernements bourgeois, de gauche comme de droite ? Rien, plus rien ou si peu car les hooligans se sont embourgeoisés au nom du peuple qu’ils étaient censés défendre. Du col mao au rotary, on a vu à quoi ressemblait cette future "élite" en mal de rapide reconnaissance, si rapide qu’elle a occulté la plupart des vrais débats que la cause ouvrière suppliait de se voir installée. Et je ne parle pas, non plus, de la cause paysanne qui a été complètement éradiquée des revendications des fils de bourges de la gauche caviar, qui n’ayant pas de bonnes notes en classes, ont préféré détaler dans la rue comme des lapins et casser, casser, casser. Casser tout ce qui leur tombait sous la main avec leur molle clé : voitures, vitrines, arbres, vélos, mobylettes, mobilier urbain, etc… Les véritables fascistes se sont eux, les casseurs car les casseurs au pouvoir, c’est l’anéantissement des libertés individuelles car les casseurs n’ont pas de programme dans leur cartable mais, quand ce n’est pas des bombes, uniquement du verbe à vendre et à revendre. Les étudiants ne connaissaient rien à la cause ouvrière et rien aux conditions épouvantables de la masse des petits paysans qui vivaient à peu près comme des gueux, alimentant le ventre de la Nation que les casseurs, le ventre plein de Parisianisme suranné, massacraient. Car, à l’image de ce Robespierre de pacotille de l’internet qui s’étonne d’apprendre que je suis bonapartiste, c’est l’image de ses semblables qui dégueule actuellement en Grèce, ville parasitée par une nombreuse et rebelle racaille qui parasite les vrais étudiants, qui sont en colère, certes mais est-ce une raison de prôner la violence urbaine pour la mort de cet innocent étudiant ? Soutenir les révoltes étudiantes en Grèce c’est affaiblir, chez nous, la République. Nous ne le tolèrerons pas. Marc-Claude de Portebane, ancien porte drapeau à Vichy des Forces Francaises Combattantes (FFC – premier mouvement de résistance fondé par le général de Gaulle).