Vichy. Les éclaircissements de Marc-Claude de Portebane. C’est en 1986 que j’ai rencontré l’idole des jeunes : Léon Degrelle, à Màlaga avec mes camarades néo-socialistes lyonnais – I –

En 1986, avec mes camarades nationalistes lyonnais, nous sommes parti en vacances en Espagne afin de visiter les lieux que nous considérions comme "saints", car ils représentaient, pour nous, la lumière face à l’obscurantisme. C’est ainsi que nous avons commencé notre périple à Málaga qui est une ville du sud de l’Espagne.

Dans un premier temps, nous voulions rendre visite au célèbre colonel Tejero, mais nous avons préféré rendre une visite nationale à Léon Joseph Marie Ignace Degrelle, le chef du parti rexiste. 

Léon Joseph Marie Ignace Degrelle est né (15 juin 1906 à Bouillon, Belgique31 mars 1994 à Málaga, Espagne)

Léon Joseph Marie Ignace Degrelle a été un grand écrivain, journaliste et directeur de presse au sein de la mouvance catho belge. Il a poursuivi ensuite une carrière politique en fondant le mouvement Rex, ce grand parti démocratique qui fut le bonheur de nos camarades belges.

Combattant très courageux sur le front de l’Est, Léon Joseph Marie Ignace Degrelle a fait la guerre avec la 28° division SS Wallonie qu’il termina avec le grade de SS-Obersturmbannführer et Volksführer der Wallonen, hein !

Exilé en Espagne à partir de 1945, il fut naturalisé en 1954 par le régime démocratique du général Franco.

Journaliste de talent, Léon Joseph Marie Ignace Degrelle a mené dans son journal Le Pays réel "une virulente campagne contre les scandales de corruption dans lesquels des politiciens de tous bords étaient impliqués, se présentant comme un "épurateur" comme tant d’autres de ses camarades de l’époque.

« Tous les partis corrompus se valent. Ils vous ont tous volés, ruinés, trahis […].
Si vous voulez voir des scandales nouveaux empester le pays, si vous voulez être écrasés par la dictature des banksters, […] suivez alors, comme des moutons, les politiciens profiteurs ! Vous aurez, vous-mêmes, signé votre condamnation à mort. »
    — Léon Degrelle, Le Pays réel

 

 

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