Si la France apportait un soutien actif à nos juifs, il n’y aurait pas la LDJ qui défends ses compatriotes de façon musclée, certes !

Le président de l’union radicale du renouveau bourbonnais et candidat à la députation de Vichy en 2004 qui, malade, n’a pu poursuivre sa campagne électorale, Marc-Claude de Portebane défends la LDJ : "La LDJ a raison de défendre ses compatriotes, certes la manière n’est pas la bonne, mais elle n’a pas tort d’être le fer de lance du nationalisme juif. Les menaces qui visent ou qui ont visé les juifs sont intolérables et je m’étonne même qu’un parti comme le NPA puisse apporter son soutien à des juifs qui matraquent l’état juif, sans arrêt et sans relâche, sans aucune pause, et je veux parler de certains discours du CAPJO-PALESTINE, que je soutiens du bout des lèvres et qui s’attaque à notre armée. Si des extrêmistes gauchistes parasitent l’état juif, je suis en totale opposition avec eux MAIS je soutiens et je soutiendrais toujours les nationalistes juifs, la patrie des juifs, la fière armée Tsahal, la plus forte armée de la région composée de patriotes et de vrais militaires, le plus redoutable service secret au monde, le pays pas si ingrat que cela, obligé, finalement, de se défendre car attaqué, sans arrêt, par la racaille du Hamas, que j’ai pourtant soutenu à bout de bras, bien malheureusement ! J’ai commis l’erreur de croire que l’Etat juif attaquait les palestiniens, mais je me suis trompé, je me suis voilé la face en n’écoutant que le Hamas qui creusait des tunnels et qui martyrisait son propre peuple pendant que nous étions rassemblés à Vichy, contre une pseudo agression montée en épingle par certains médias dont cette saloperie de journal de Libération, saloperie d’extrême gauche (soutenue par la gauche socialiste) que je combattrai sans relâche, sans relâche et encore sans relâche jusqu’à mon dernier souffle. Nationalistes, unissons-nous ! Nationalistes juifs de la LDJ, unissez vous contre vos ennemis, invisibles ennemis mais vrais fripouilles.

La Jewish Defense League [modifier]

La Jewish Defense League est fondée en 1968 à New York (États-Unis) par le rabbin Meir Kahane, chef du mouvement israélien Kach, mouvement inspiré par une vision radicale du sionisme religieux.

À l’origine, la Jewish Defense League a été créée comme groupe militant de protection et d’auto-défense des juifs orthodoxes objet des attaques de divers gangs de rue, et pour protester contre les manifestations locales antisémites. Elle a ensuite élargi son champ d’action, et défend la communauté juive de toutes menaces qui pèsent sur elle, si besoin par la confrontation physique violente.

En pratique, elle est progressivement apparue comme une organisation sœur du Kach, organisant le soutien au Kach, et l’Aliyah de ses sympathisants.

En Israël, le parti Kach a siégé à la Knesset de 1984 à 1988, puis fut interdit d’élection en 1988, et enfin dissous en 1994, pour racisme et incitation à la violence. Il est par ailleurs listé comme organisation terroriste par le Département d’État américain[6].

En 2001, la JDL a été classée comme organisation terroriste par le FBI qui a indiqué sa responsabilité dans plusieurs attentats à la bombe commis entre 1980 et 1989. En décembre 2001, le président de la JDL, Irv Rubin, est arrêté et mis en examen pour avoir projeté des attentats contre une mosquée américaine et le bureau d’un député américain d’origine libanaise. Il se suicide apparemment en prison avant son procès ; sa famille a porté plainte pour homicide, sans succès. À la suite de cette affaire, la JDL a fait l’objet d’une scission et d’une bataille juridique pour la propriété de son sigle et de son logo.

La JDL a été considérée comme une organisation terroriste active pendant deux décennies, selon la base de connaissance américaine TKB[7].

La LDJ française [modifier]

Un tag vu dans le quartier parisien du Marais 14 juillet 2006, peu après le déclenchement d’hostilités entre Israël et le Liban.

En France, la LDJ est constituée de quelques centaines de membres actifs, et selon son porte-parole Michaël Carliste, elle regroupe « des anciens militants du Betar ».

Leur signe distinctif est le bouclier de David et un poing serré inscrit en noir sur fond jaune. Cet emblème est un dérivé de celui du Kach.

D’après l’émission Compléments d’enquête consacrée à l’antisémitisme et diffusée sur France 2 le lundi 20 septembre 2004, les membres de la LDJ s’entraînent au combat, ils suivent des cours de krav maga, l’art martial de l’armée israélienne.

Une association Liberté démocratie judaïsme (LDJ) ayant cette adresse a été déclarée en janvier 2001 à la préfecture de Paris mais la dissolution de cette association a été déclarée le 14 juin 2003 à la préfecture de Paris[réf. nécessaire]. On peut donc considérer la LDJ comme un groupuscule de fait.

Idéologie [modifier]

L’idéologie de la LDJ relève du kahanisme, du nom du rabbin Meïr Kahana, député israélien, auteur d’écrits nationalistes (The jewish idea, Never again!). Il fut assassiné en 1990. Elle prône l’expulsion, qu’elle nomme "transfert", de l’intégralité de la population arabe d’Eretz Israel. Sa vision d’Israël est celle d’un grand Israël revendiquant l’annexion de la Jordanie, du Liban, de la Syrie et du Sinaï. Ce qui signifierait aussi la déportation des populations de ces pays à l’extérieur des frontières de ce Grand Israël.

L’ancien mouvement de Meïr Kahana "Kach" fut jugé illégal en Israel.

La LDJ est opposée à la mixité ethnique et refuse catégoriquement l’union de juifs avec des non-juifs. Elle estime que le peuple juif doit préserver son identité.

Apologie de l’autodéfense [modifier]

La Ligue de défense juive se présente comme un mouvement activiste sioniste d’autodéfense. Elle incite ainsi « les Juifs de France à assurer par eux-mêmes leur protection contre leurs agresseurs ».

Le thèse de fond de la LDJ, et des mouvements rattachés idéologiquement de près ou de loin au mouvement du Kach, est d’affirmer que le mouvement juif ne doit pas rester passif et soumis mais se défendre lui-même. La LDJ pense ainsi que si la communauté juive, pendant les années 30 et 40, s’était défendue de manière radicale et ferme, si elle n’était pas restée passive, il n’y aurait pas eu de génocide juif et 6 millions de morts.

La LDJ s’emploie donc à un véritable travail de veille et de défense de la communauté juive : actions musclées contre les néo-nazis, ou autres auteurs de propos ou attitudes qu’elle juge antisémites ou antisionistes, notamment certains médias, personnalités, ou mouvements d’extrême gauche ou communautaristes aux positions, selon elle, antisionistes ou pro-palestiniennes.

Contrairement au Betar qui est proche du Likoud, et qui considère l’émigration vers Israël (l’alyah) comme « l’aboutissement du militantisme », la LDJ considère que le « Likoud est trop mou » et n’incite pas les Juifs français à émigrer vers l’État hébreu. « Juifs français et Juifs israéliens mènent la même lutte contre le fascisme islamique ». Accusant la « population musulmane » d’être « très majoritairement à l’origine des actes antisémites », elle appelle « les Juifs français qui restent en France à rejoindre le combat et défendre notre sol et notre culture pour ne jamais avoir à subir la charia ». Un discours qui séduit surtout des jeunes juifs déçus du Betar.

D’après Robert Tuniques, l’un de ses responsables, « le gouvernement français ne fait rien pour protéger ses citoyens de confession juive et encourage les pogromistes des banlieues ». Cette situation, selon eux, légitime largement le recours à l’autodéfense.

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